le paradoxe d'Hermès. du symbole à l'universel

le paradoxe d'Hermès. du symbole à l'universel

Auteur :

François L'Arpenteur

Collection :

Collection de Midi

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Rubrique : Franc-maçonnerie - Ésotérisme

ISBN : 9791090138285

Référence : 7028

Année de parution : 2015

Comment le symbole peut-il se prétendre point d’accès à l’universel, alors que ses interprétations s’avèrent toujours partiales autant que liées à un contexte culturel particulier, groupe, région, ethnie ou communauté ?

Du fait de cet écart entre symbole et universel, la démarche symbolique, à l’origine de tout principe initiatique, peut-elle rester, alors, l’outil de prédilection du parcours maçonnique ?

L’auteur interroge la parole d’Hermès sur ce qui fait symbole, système, analogie ou méthode, sur ce qui peut se cacher encore derrière les mots afin de faire de ce paradoxe une force pour aller plus loin…

François l’Arpenteur est l’auteur du livre référence : Symbole, figure et représentation de l’absence.
Tout au long de ces lignes, il nous livre ses dernières recherches à méditer longuement.

Extrait 7028 Le Paradoxe D'hermès Du Symbole à L'universel

Référence :	7028
Nombre de pages :	96
Format :	11,5 x 20 cm
Reliure :	Broché

	Rôle
L'Arpenteur François	Auteur

introduction

I    interrogations
   De ce qui questionne.

II   oppositions
   Du symbole.

III   transmutations
   D’Hermès aux pieds légers.

IV   associations
   De l’analogie.

V   confrontations
   De l’ouverture.

VI   organisations
   Du système.

VII   (dé)figurations
   De l’art.

VIII   structurations
   De la méthode.

IX   imaginations
   De la fin.

conclusion

Commentaire

3,0 sur 5 étoilesUne lecture de base sur le rôle du symbole
Par Lemich Drakkar1000 PREMIERS REDACTEURS D'AVISle 31 décembre 2015
… le premier chapitre se termine par la question, comment la FM peut-elle prétendre accéder à l’universel tout en préconisant l’usage de symboles qui ne le sont pas ? C’est au deuxième chapitre que le symbole fait l’objet d’une analyse serrée ; plus loin, l’auteur évoque Hermès aux pieds légers qui serait le dieu mythologique le plus apte à représenter le symbole, qui libère le sens, et permet de se découvrir aussi bien que découvrir les moyens de sa liberté de penser et d’agir...

Le troisième chapitre traite de l’usage du symbole et de sa fonction dans une société, qui s’insère dans un système permettant à l’individu de se détacher de l’emprise du monde en y tendant son propre filet de significations, afin de ne plus en être l’esclave ou le tributaire. Le chapitre 7 introduit la dialectique de l’art et du symbole, celui-là, une pratique, étant une expression du jeu symbolique qui ne peut exister sans celui-ci. L’avant-dernier chapitre traite de la structuration, et l’auteur souligne l’importance de deux démarches intellectuelles apparemment contradictoires, le raisonnement logique et la pensée symbolique, comme éléments clés de réflexion en loge et c’est dans ce contexte qu’elle devient un élément structurant. Finalement, l’auteur, nous indique comment opère la pensée symbolique, en se déployant dans un espace spatial et temporel, la loge et le rite…